Depuis l’effondrement de deux immeubles de la rue d’Aubagne, en 2018, les pouvoirs publics affichent une volonté d’agir contre les logements dangereux. Mais, six ans plus tard, le chantier reste énorme.Depuis l’effondrement de deux immeubles de la rue d’Aubagne, en 2018, les pouvoirs publics affichent une volonté d’agir contre les logements dangereux. Mais, six ans plus tard, le chantier reste énorme.