La défiance, les coups de griffe aux contre-pouvoirs, les crises économiques tout comme l’accaparement des richesses par les plus puissants érodent les démocraties, écrit Marie Charrel, journaliste au « Monde », dans sa chronique.La défiance, les coups de griffe aux contre-pouvoirs, les crises économiques tout comme l’accaparement des richesses par les plus puissants érodent les démocraties, écrit Marie Charrel, journaliste au « Monde », dans sa chronique.